Bruxelles, 16 février 2025 – Un an après la mort du chef de l’opposition russe Alexei Navalny dans une colonie pénale stricte, l’Union européenne a réitéré sa condamnation des autorités russes, tenant le président Vladimir Poutine directement responsable de ce qu’il appelle un assassinat politiquement motivé.
Dans un déclaration fortement rédigéele haut représentant de l’UE a souligné que Navalny a payé le prix ultime pour sa lutte contre l’autoritarisme en Russie.
«Aujourd’hui marque un an depuis la mort du politicien de l’opposition russe Alexei Navalny, pour lequel le président Poutine et les autorités russes ont une responsabilité ultime», “ La déclaration se lit
Navalny, un critique ferme de Poutine et un militant anti-corruption, a été emprisonné en 2021 à son retour en Russie en provenance d’Allemagne, où il avait été traité pour empoisonnement avec l’agent nerveux Novichok – une attaque largement attribuée aux services de sécurité russe. Son emprisonnement a été condamné à l’international comme motivé politiquement, et son transfert ultérieur à l’une des colonies pénales les plus dures de la Russie a soulevé des inquiétudes concernant sa sécurité.
Répression continue de l’opposition
Le UE La déclaration a également souligné la répression de la répression de la dissidence par la Russie, en particulier alors que Moscou poursuit sa guerre à grande échelle contre l’Ukraine. Il a noté que les avocats de Navalny, ainsi que des centaines de prisonniers politiques, restent derrière les barreaux sur des accusations fabriquées.
«Alexei Navalny a donné sa vie pour une Russie libre et démocratique. Aujourd’hui, ses avocats restent injustement emprisonnés, ainsi que des centaines de prisonniers politiques. La Russie doit libérer immédiatement et inconditionnellement les avocats d’Alexei Navalny et tous les prisonniers politiques »,» L’UE a déclaré.
Au cours des cinq dernières années, l’UE a mis en œuvre des sanctions ciblées contre les responsables de l’empoisonnement de Navalny, de l’arrestation et de la condamnation politiquement motivée. En 2024, Bruxelles a élargi ses mesures en introduisant un droits de l’homme– Régime de sanctions spécifiques visant les individus impliqués dans la répression et les abus.
Demande de justice et fin de répression
L’UE a appelé la Russie à cesser sa répression implacable contre la société civile, les médias indépendants et les personnalités de l’opposition, exhortant le Kremlin à adhérer au droit international et à respecter les droits humains fondamentaux.
La mort de Navalny marquant un sombre chapitre dans la politique russe moderne, son héritage continue d’inspirer les mouvements pro-démocratie en Russie et au-delà, alors que les nations occidentales maintiennent la pression sur Moscou pour la responsabilité.